- Universes Beyond est passé de sorties occasionnelles à des collections complètes couronnées de succès, notamment Le Seigneur des Anneaux et Final Fantasy.
- Les produits sont axés sur le format Commander, combinant réimpressions et nouvelles cartes ; certaines collaborations sont intégrées à des extensions existantes, comme Ixalan avec Jurassic World.
- La collaboration Final Fantasy comprend des cartes emblématiques (Sephiroth, Bahamut, Clive/Ifrit), une carte Chocobo en série et 4 decks Commander.

S'il y a bien un sujet qui enflamme les passions des joueurs et collectionneurs de Magic: The Gathering, ce sont ses collaborations avec d'autres marques. Ces dernières années, des alliances ont été conclues sous l'égide de Univers au-delà D'abord simples expériences ponctuelles, ces collaborations sont devenues des références incontournables, ouvrant les portes du Multivers Magic aux jeux vidéo, aux films, aux séries télévisées et à la littérature. On peut affirmer sans exagérer que, depuis des célébrations comme le 30e anniversaire, ces collaborations ont façonné la stratégie de Wizards of the Coast et mis la collection sous les projecteurs auprès d'un nouveau public.
Le phénomène a évolué à une vitesse fulgurante : à partir de gouttes très spécifiques comme Repaire secret (avec des exemples aussi connus que The Walking Dead) pour compléter des collections dans le style traditionnel, comme ce fut le cas avec Le Seigneur des Anneaux. Entre-temps, nous avons eu des produits de COMMANDER Des cartes promotionnelles conçues de A à Z, insérées dans les extensions Standard, et des réimpressions avec des illustrations alternatives parfaitement adaptées aux franchises emblématiques : tout cela a suscité un véritable engouement, des débats passionnés et, bien sûr, une forte envie de collectionner. Passons en revue… Les collaborations les plus épiques de Magic: The Gathering avec d'autres franchises.
Univers au-delà : qu'est-ce que c'est et qu'est-ce que cela apporte à la magie ?
Universes Beyond est le label qui regroupe les collaborations officielles de Magic avec d'autres propriétés intellectuelles. Son objectif est clair : présenter de nouvelles cartes, illustrations et produits qui relient le jeu de cartes à des histoires appréciées du public. Cela inclut tout, des séries télévisées et des films aux jeux video et des sagas littéraires ; le champ des possibles est immense et, pour la communauté, cela représente la possibilité de mêler leur passe-temps à des univers qu'ils affectionnent déjà.
Le format de ces collaborations a été flexible. D'un côté se trouvent les Repaire secretDes paquets en édition limitée avec des cartes magnifiquement conçues (et parfois mécaniquement uniques). L'autre contient le collections complètesavec des centaines de nouvelles cartes, des boosters et toutes les fonctionnalités habituelles de Magic. Entre ces deux extrêmes, Wizards a lancé decks préconstruits Commander et des cartes thématiques insérées dans des ensembles existants, comme les cartes Jurassic World qui se sont glissées dans les Cavernes perdues d'Ixalan.
Un exemple parfait de la façon dont les formats sont mélangés est Ikorie, le set qui a introduit des cartes de créatures inspirées des kaiju grâce à des traitements artistiques alternatifs de GodzillaCe type d'intégration élégante a permis de réimprimer des cartes et des versions avec des noms/illustrations alternatifs, maximisant ainsi le lien thématique sans rompre les structures de jeu auxquelles nous sommes déjà habitués.
Cependant, l'année 2023 a marqué un tournant : Le Seigneur des Anneaux : Contes de la Terre du Milieu Elle a franchi le pas vers une collection complète de plus de 300 cartes, et la collaboration avec Doctor Who Wizards a emboîté le pas avec plusieurs decks Commander renforcés par des coffrets collector. Depuis, Wizards a abordé ces synergies comme partie centrale de leur calendrierpas en plus.
Secret Lair, ensembles complets et le rôle de Commandant
La plupart des alliances se sont révélées particulièrement performantes en Commander. Ce n'est pas un hasard : le format à 100 cartes avec une créature légendaire en première page permet… raconter des histoires auxquelles on peut s'identifier Avec des designs attrayants et des synergies faciles à comprendre pour les nouveaux joueurs, de nombreuses sorties incluent quatre à cinq decks thématiques, chacun centré sur une faction, un groupe ou un moment clé de la franchise présentée.
Cependant, tout n'est pas nouveau : une bonne partie de ces produits combinent réimpressions Ce coffret propose des cartes incontournables du format ainsi que quelques nouveautés. Cet équilibre garantit des decks jouables dès le premier jour, tout en offrant des objets de collection avec des illustrations et des cadres spécialement conçus pour cette collaboration.
Les limites ont également été explorées. Secret Lair : The Walking Dead La conversation a porté sur les cartes exclusives et leur éventuelle réimpression sous d'autres noms ou dans des contextes Magic standard. La question de savoir si, quand et Comment ces lettres sont-elles réimprimées ? Le sujet a fait couler beaucoup d'encre au sein de la communauté, surtout lorsqu'il s'agit d'accords de licence.
Bien que les détails suscitent la curiosité, Les conditions de licence ne sont généralement pas rendues publiques.Chaque accord (par exemple, avec Toho pour Godzilla) peut inclure des conditions spécifiques concernant les noms, les illustrations, les cadres ou les réimpressions, d'où les différentes solutions proposées selon la collaboration.
Entre-temps, certaines rumeurs ont circulé sans toutefois se concrétiser (pour l'instant). À un moment donné, certains ont évoqué l'arrivée de Strixhaven avec un possible clin d'œil à un certain monde magique de baguettes magiques et de balais volants. Et, bien sûr, en consultant le catalogue de la marque Hasbro, Marvel o Star Wars Elles planent toujours à l'horizon des désirs de la communauté, aussi folles que puissent paraître ces combinaisons au premier abord.
Fallout, Assassin's Creed et le passage au front

La consolidation d'Universes Beyond est devenue évidente lors des annonces faites à la Gen Con de Magic. Il a été confirmé à cette occasion que Fallout aurait ses propres decks Commander, avec une sortie prévue en mars 2024. Chaque deck représente un faction des Terres désoléesAinsi, des noms emblématiques comme la Confrérie de l'Acier et l'Enclave sont présents. L'inspiration précise de chaque jeu de la série n'a pas été détaillée dès le départ, mais le cadre post-apocalyptique s'accorde parfaitement avec les mécaniques de gestion des ressources, d'équipement et de survie.
L'autre grande franchise de jeux vidéo qui a sauté dans le train en marche était Assassin CreedSon lancement était prévu pour le troisième trimestre de l'année, et la promesse était claire : assassins, parkour et artefacts historiques Ces éléments ont été intégrés au jeu grâce à des illustrations et des décors rappelant les opus les plus appréciés. Concrètement, on s'attendait à un produit qui explorerait l'héritage de la saga à travers des cartes légendaires et des artefacts emblématiques.
Au-delà de ces deux noms, Wizards a laissé entendre la présence de Cartes Jurassic World comme des encarts dans les Cavernes Perdues d'Ixalan, célébrant 30 ans de films avec des dinosaures pour jeux de plateau. Et, pour lever tout doute sur l'ambition du projet, il a été question d'un nouveau Horizons modernes, une remasterisation de Ravnica et d'autres produits programmés, ce qui montre bien que le calendrier était bien rempli.
Le Seigneur des Anneaux et Doctor Who : le changement d'échelle

Avant l'arrivée du Seigneur des Anneaux, il était courant de voir des lots de 4 ou 5 decks Commander Grâce à une collaboration, avec un noyau de rééditions complété par des cartes inédites, ce modèle a fait ses preuves : il permettait aux joueurs de commencer à jouer immédiatement et offrait des clins d’œil évidents aux fans de la licence mise en avant.
Mais avec la Terre du Milieu, la barre a été placée plus haut : la collection a été traitée comme un ensemble complet L'extension Magic: The Gathering, avec plus de 300 nouvelles cartes, des boosters pour tous les goûts et des versions parallèles pour les cartes les plus puissantes, était littéralement une extension Multivers qui s'est vendue comme des petits pains, prouvant que la formule pouvait aussi fonctionner à grande échelle.
Ensuite sur la liste, Doctor Who, a conservé l'accent sur le Commandant, mais a ajouté boîtes de collection à l'équation. En pratique, cela s'est traduit par des traitements spéciaux et des illustrations alternatives encore plus nombreux, ainsi que par des réimpressions très attrayantes pour ceux qui cherchaient à améliorer leurs decks sans en perdre l'essence thématique.
Une question récurrente dans ces collaborations est la présence (ou l'absence) de planeswalkersLorsqu'ils travaillent sur des histoires extérieures à la mythologie originale de Magic, Wizards évite généralement d'imposer ce type de carte à moins qu'elle ne s'intègre parfaitement ; ainsi, certaines collaborations privilégient les créatures légendaires, les sagas et les sorts plutôt que les designs appartenant exclusivement à l'univers de Magic.
Final Fantasy : De la légende à la réalité avec des cartes qui racontent des histoires

La collaboration avec Final Fantasy Le projet mûrissait depuis un certain temps, et lorsqu'il a finalement pris forme, il l'a fait en grande pompe. La collection devait être disponible à partir du juin 13couvrant les 16 jeux principaux de la série, du classique de 1987 à l'opus le plus récent. L'idée de base était claire : transfert de moments, de pouvoirs et d'identités de la franchise au langage de Magic.
L'un des principaux protagonistes est SephirothSon concept repose sur la mort d'autres créatures et la transition vers sa forme la plus emblématique, connue sous le nom de Safer Sephiroth. Une fois ce stade atteint, le vilain peut lancer une supernova Elle est représentée comme un emblème dévastateur, affaiblissant les adversaires à chaque nouvelle mort sur le plateau. Inutile de préciser qu'en Commander, cet effet boule de neige peut décider du sort des parties.
La sélection des personnages de Final Fantasy VII Elle est généreuse : Acclamation Elle peut doubler la phase de combat pour tirer pleinement parti des stratégies agressives, tandis que Cloud Elle renforce sa synergie avec les équipes et se termine avec la mythique Buster Sword, incluse dans le set avec un bonus mécanique qui, bien que non détaillé initialement, est conçu pour optimiser ses attaques.
Si ce que nous recherchons, c'est un pouvoir immense, Bahamut Il tient sa promesse. Nous le voyons ici sous la forme de Saga qui aboutit à un type de compétence Méga FlareLes dégâts infligés à tous les autres joueurs sont égaux à la valeur totale de mana de nos permanents. Concrètement, il s'agit d'un burst qui met en difficulté les plateaux de jeu longs et récompense ceux qui ont construit un champ de bataille avec des permanents à coût élevé.
Le lien entre les personnages et les invocations brille particulièrement avec Final Fantasy XVI. Clive Elle possède un côté humain qui rafraîchit la main grâce à la dévotion au rouge et, à mesure qu'elle se transforme en Ifrit Grâce à des mécaniques rappelant Saga, le jeu déchaîne des quantités astronomiques de mana rouge et permet de revenir sur le champ de bataille sous sa forme originale une fois le troisième chapitre atteint. Il en résulte un va-et-vient thématique et mécanique qui capture parfaitement l'esprit du jeu.
D'autres noms, tels que Jill et son lien avec ShivaIls renforcent cette idée de double identité, tirant parti du format des cartes Saga pour raconter des arcs narratifs de transformation avec une ambiance typique de Final Fantasy. La conception est soignée dans les moindres détails visuels, et cela se remarque même pour ceux qui n'ont jamais tenu de manette en main.
Pour les collectionneurs, deux surprises les attendent : une carte numérotée de Chocobo limité à Copies 500 qui n'apparaît que dans les boosters collector, et des versions non numérotées sont disponibles. en différentes couleurs pour constituer une sorte d'écurie de montures à la convenance du joueur. C'est le genre de clin d'œil qui enflamme les ventes aux enchères et alimente les albums de souvenirs.
Comme prévu, le lancement s'accompagne de quatre decks Commander Inspiré des jeux phares de la série, ce coffret propose des cartes conçues pour des parties rapides. L'association de nouvelles cartes et de rééditions précieuses offre une expérience complète aux fans de Final Fantasy comme aux joueurs de Magic désireux d'explorer différents archétypes.
L'accueil n'aurait pas pu être meilleur : la collaboration avec Final Fantasy est devenue le plus grand succès en 32 ans Magic place Universes Beyond au-dessus de nombreuses extensions Standard en termes d'impact médiatique et de ventes. Preuve indéniable que ces alliances sont passées de la rareté au courant dominant.
Jurassic World sur Ixalan et autres voies d'intégration

Toutes les collaborations n'exigent pas un produit entièrement original. Une approche qui a très bien fonctionné consiste à insérer des cartes thématiques dans des extensions qui explorent déjà des idées similaires. C'est ce qui s'est passé avec Les Cavernes perdues d'Ixalan, qui incluait des cartes de Jurassic World, tirant parti de la présence de les dinosaures et l'exploration comme axe du monde.
Ce modèle offre trois avantages : il conserve la collection principale au centre des préoccupations, il ajoute variété esthétique et ses effets, et permet aux collectionneurs de rechercher des pièces spécifiques sans avoir à acheter un produit séparé. C'est une manière élégante de passer d'un univers à l'autre sans rompre le fil narratif de la série principale.
Licences, réimpressions et autres noms
Derrière chaque collaboration se cache un accord de licence. Cela se traduit par conditions particulières Concernant l'utilisation des noms, logos, illustrations, cadres et, surtout, les éventuelles réimpressions, on observe diverses stratégies : certaines cartes sont conçues comme des modèles uniques reprenant le nom de la franchise invitée, puis elles peuvent réapparaître ultérieurement. noms propres et arts du Multivers Magique si le contrat le permet.
Le cas de la Godzilla Dans Ikoria, c'est un exemple éloquent : les illustrations alternatives et les noms superposés sur les cartes de base permettent à l'univers des kaiju de coexister avec l'identité de l'extension. De manière générale, plus cette distinction est nette, plus facile Il s'avère qu'il est possible de réémettre la lettre sans la mention de la franchise invitée, évitant ainsi des frictions juridiques.
En tout cas, Les petits caractères sont rarement rendus publicsD'où le débat au sein de la communauté quant à la possibilité d'un retour de cette carte à l'avenir, dans quel cadre et sous quel nom. La règle d'or : cela dépend de chaque licence.
Pourquoi ces collaborations fonctionnent (et quelles sont leurs limites)
Pour Wizards, Universes Beyond remplit une double fonction. D'une part, attire de nouveaux publics qui n'auraient peut-être jamais abordé Magic sans un point d'entrée familier. D'un autre côté, cela enrichit le jeu grâce à des styles artistiques, des mécaniques et des ambiances qui poussent la conception à explorer des pistes moins fréquentées.
Existe-t-il des limites ? Oui. Lorsque le contenu provient d’une autre franchise, nous essayons de ne pas en imposer certains éléments. sa propre mythologie de Magic (comme les planeswalkers) si elles ne s'intègrent pas naturellement. À la place, on utilise des types de cartes idéaux pour la narration, tels que Sagaou des créatures légendaires qui personnifient des héros et des méchants célèbres.
De plus, le format Commander s'est imposé comme un laboratoire parfait Pour ces jeux hybrides : il permet des parties longues, des moments épiques et des designs qui brillent à quatre joueurs – exactement le genre de table où un personnage reconnaissable peut devenir l’âme de la fête.
Au programme : davantage de Final Fantasy, du Seigneur des Anneaux et de jeux PlayStation
Face à ce succès, Wizards a rapidement confirmé qu'il y aurait Nouveau produit Final Fantasy et Le Seigneur des Anneaux ont été mentionnés plus tard, en vue de 2026. Parallèlement, ils ont mentionné des cartes inspirées des sagas PlayStationCela élargit naturellement le spectre des collaborations avec les jeux vidéo, déjà inaugurées par Fallout ou Assassin's Creed.
L'engouement est encore accentué par le calendrier médiatique : si une franchise revient pour une nouvelle saison (comme cela a été le cas pour…), l'attente est d'autant plus forte que la franchise est en pleine expansion. Fallout), la conversation autour du crossover Magic La température remonte.C'est la combinaison parfaite de marketing, de nostalgie et d'un désir d'avoir une table.
Souhaits futurs : Marvel, Star Wars et un candidat surprise
Les spéculations vont bon train dès que Wizards dévoile de nouvelles annonces. La communauté regorge de fantasmes à ce sujet. Marvel o Star Wars (la synergie avec Hasbro est un atout évident), et beaucoup se souviennent comment, à l'époque, ils plaisantaient même sur un repaire secret dans le style de Force de volonté Profiter de la coïncidence des dates du 4 et du 5 mai. Voilà des idées qui font parler d'elles, même si, pour l'instant, elles ne dépassent pas le stade du vœu pieux.
Parmi les propositions les plus réalistes, celle qui s'est fortement imposée est Clair Obscur: Expedition 33Le concepteur principal, Gavin Verhey, a lui-même déclaré qu'il serait ravi de voir cette collaboration se concrétiser. En résumé : Il croit qu'il y a du potentiel Et qu'après avoir travaillé sur Fallout ou Warhammer, il y a de la place pour continuer à explorer des jeux avec une identité forte et des systèmes qui correspondent à Magic.
Pour que cela se produise, l'approbation de toutes les parties serait nécessaire : Magic: The Gathering, Kepler Interactive (éditeur) et Chute de sable interactive (équipe de développement). Ce ne sera certainement pas par manque de volonté.
Et si la collaboration avec Final Fantasy a démontré quelque chose, c'est bien que l'esprit de 16 livraisons dans un produit unique et cohérent. Le travail colossal de sélection, de conception et d'adaptation a placé la barre très haut, démontrant ce qu'il est possible d'accomplir lorsqu'on s'attache à saisir chaque nuance d'une franchise culte.
Objets de collection, langues et raretés : entre feuille d'aluminium et numéros de série
Ces alliances ont également remodelé l'écosystème des collectionneurs. Certains, avec le Série GodzillaIl a été proposé de compléter les versions feuille d'aluminium en japonais Au fil du temps, l'entreprise a préféré consacrer son budget à des franchises plus populaires ou à des collections plus attractives. En réalité, toutes les collaborations n'ont pas le même impact, ce qui influence les décisions d'achat et la perception d'exclusivité.
Les cartes en série Ils ont jeté de l'huile sur le feu. Le Chocobo, limité à 500 exemplaires dans le cadre de la collaboration avec Final Fantasy, en est le parfait exemple : Il n'apparaît que dans les boosters de collection. Et, comme prévu, son prix s'envole. Parallèlement, l'existence d'une version standard en différentes couleurs permet à un plus grand nombre de joueurs de profiter de ce clin d'œil au jeu sans se ruiner.
Il y a aussi ceux qui recherchent art alternatifDes cadres spéciaux ou des langues spécifiques pour compléter votre collection idéale. Universes Beyond, en s'appuyant sur des icônes culturelles et leurs communautés de fans, multiplie les possibilités de personnalisation tout en proposant un contenu jouable et utile.
Un calendrier chargé et une communauté dynamique
Parmi les principaux produits (comme un nouveau Horizons modernes) et des relectures nostalgiques (comme Ravnica remasteriséLe calendrier de Magic est déjà chargé. L'ajout d'Univers au-delà entraîne un double hype trackD'une part, le développement de l'univers propre à Magic ; d'autre part, l'arrivée d'icônes culturelles qui attirent l'attention de l'extérieur.
Cet équilibre n'est pas toujours facile à trouver. Des débats persistent quant à la présence de cartes exclusives, au calendrier de sortie et à la compatibilité avec les formats compétitifs. Parallèlement, il est indéniable que ces collaborations ont revitalisé Les discussions autour du jeu ont rempli les tables et attiré des personnes qui, autrement, n'auraient jamais essayé un jeu.
Si vous appréciez Magic pour son univers, ces alliances sont un atout. expérience amusante ce qui ajoute de nouvelles textures. Si vous êtes séduit par leur design, sachez qu'il s'agit de véritables laboratoires mécaniques où sont testées des idées novatrices. Et si leurs illustrations vous conquièrent, il ne se passe pas une semaine sans qu'une œuvre d'art alternative ne cherche à trouver sa place dans votre bibliothèque.
Compte tenu de tout ce qui précède, il est clair que Magic a trouvé une véritable mine d'or créative et commerciale avec Universes Beyond. De Fallout à Assassin's Creed, de la Terre du Milieu à Doctors, et bien plus encore. Final Fantasy en tant que produit phareCette formule prouve qu'il est possible de rendre hommage à ses histoires préférées sans dénaturer l'essence du jeu. La suite – de nouveaux opus de cartes Final Fantasy et Seigneur des Anneaux, des cartes issues des sagas PlayStation, et même le rêve de voir Clair Obscur – ne fait que confirmer que le Multivers Magique a encore bien des atouts. Plus de portes ouvertes que jamais auparavantPour plus d'informations, nous avons inclus le Site officiel de Magic.
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